La santé sexuelle
6. Abus sexuel
6.6. «Prédateurs» avec ou sans déficience intellectuelle
Photo: G.H.Lunde
La sexualité et les abus sexuels ne font souvent pas l'objet de discussions. Si un abus sexuel est commis par une PADI, l'acte peut être tenu secret (2, 15).
Les soupçons d'agression sexuelle sont souvent ignorés ou négligés (15). La victime et le «prédateur» ne sont souvent pas confrontés et aucun d’entre eux ne reçoit d’aide.
Il est impossible de regarder quelqu'un et de dire si cette personne a commis ou va commettre un acte d'abus sexuel. Une des raisons pour lesquelles un abus reste non détecté est probablement la difficulté de décrire le «coupable typique». Les agresseurs se retrouvent dans tous les groupes de la société et peuvent avoir une fonction sociale égale à celle des autres (2, 17).
Les abus se produisent également entre personnes handicapées mentales. Un agresseur ayant une déficience intellectuelle qui a du mal à comprendre les règles sociales devrait être traité différemment d'un garçon de 15 ans qui se masturbe devant des enfants. La connaissance est importante pour prévenir les situations difficiles et faciliter de bonnes relations et relations sexuelles. Afin d'éviter que de nouvelles agressions soient commises, il est important de voir l'individu et de faciliter les mesures individuelles (17).
Il n'y a aucune raison de décrire les agresseurs comme des monstres verbalement. Cela réduit souvent les chances de l'agresseur de parler de ce qu'il a fait. Les motivations des individus peuvent varier d'un désir de proximité à celui de se réconforter, en passant par le désir de contrôler une autre personne au moyen d'actes de violence et de sadisme (2).
Certains PADI abusent sexuellement de leurs frères et sœurs. Afin de prévenir les abus, nous devons pouvoir parler à l'agresseur. Nous devons mettre fin à la tendance à violer les limites de l’espace personnel des autres. Nous devons demander de l'aide et signaler le cas aux autorités (2). Les avertissements, menaces ou comportement violent du prédateur peuvent faire taire l’enfant. Ceci est également vrai pour les sentiments de culpabilité ou de honte ou pour la peur de ce qui pourrait arriver à l'agresseur ou à la personne ».
Les soupçons d'agression sexuelle sont souvent ignorés ou négligés (15). La victime et le «prédateur» ne sont souvent pas confrontés et aucun d’entre eux ne reçoit d’aide.
Il est impossible de regarder quelqu'un et de dire si cette personne a commis ou va commettre un acte d'abus sexuel. Une des raisons pour lesquelles un abus reste non détecté est probablement la difficulté de décrire le «coupable typique». Les agresseurs se retrouvent dans tous les groupes de la société et peuvent avoir une fonction sociale égale à celle des autres (2, 17).
Les abus se produisent également entre personnes handicapées mentales. Un agresseur ayant une déficience intellectuelle qui a du mal à comprendre les règles sociales devrait être traité différemment d'un garçon de 15 ans qui se masturbe devant des enfants. La connaissance est importante pour prévenir les situations difficiles et faciliter de bonnes relations et relations sexuelles. Afin d'éviter que de nouvelles agressions soient commises, il est important de voir l'individu et de faciliter les mesures individuelles (17).
Il n'y a aucune raison de décrire les agresseurs comme des monstres verbalement. Cela réduit souvent les chances de l'agresseur de parler de ce qu'il a fait. Les motivations des individus peuvent varier d'un désir de proximité à celui de se réconforter, en passant par le désir de contrôler une autre personne au moyen d'actes de violence et de sadisme (2).
Certains PADI abusent sexuellement de leurs frères et sœurs. Afin de prévenir les abus, nous devons pouvoir parler à l'agresseur. Nous devons mettre fin à la tendance à violer les limites de l’espace personnel des autres. Nous devons demander de l'aide et signaler le cas aux autorités (2). Les avertissements, menaces ou comportement violent du prédateur peuvent faire taire l’enfant. Ceci est également vrai pour les sentiments de culpabilité ou de honte ou pour la peur de ce qui pourrait arriver à l'agresseur ou à la personne ».
ACTIVITÉS:
• Utilisez votre imagination et pensez à une conversation avec un délinquant sexuel. Que lui diriez-vous, comment expliqueriez-vous le mal qu'il avait fait?
• Discutez avec votre enfant / frère / client / client de la force personnelle de chaque PADI pour éviter les délinquants sexuels et de la façon dont ils peuvent eux-mêmes se prendre en charge en période difficile.
Image: Aquarelle par G.Dietrichson